« Tu comprendras quand tu seras plus grande », Virginie Grimaldi

by Merveilles et Coquillettes

« Tu comprendras quand tu seras plus grande » en résumé

« Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus au bonheur qu’à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu’elle ne déborde pas d’affection pour les personnes âgées. Et dire qu’elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme.
Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Difficile pourtant d’imaginer qu’on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au cœur brisé… Et si elle n’avait pas atterri là par hasard ? Et si l’amour se cachait là où on ne l’attend pas ?
C’est l’histoire de chemins qui se croisent. Les chemins de ceux qui ont une vie à raconter et de ceux qui ont une vie à construire.

C’est une histoire d’amour(s), une histoire de résilience, une ode au bonheur. »

Ce que j’en ai pensé…

Des années que je n’avais pas lu un bouquin qui m’avait autant émue et touchée. Le dernier c’était « Ensemble c’est tout » d’Anna Galvalda et j’avais pris une belle claque. Cela m’avais fait me rendre compte que finalement, le bonheur ne tient à pas grand-chose.

En lisant « Tu comprendras quand tu seras plus grande » de Virginia Grimaldi, je suis passée toutes les émotions, j’ai été émue, attendrie, j’ai pleuré, j’ai ri… Mais surtout, j’ai pris une belle leçon d’optimisme.

On vit tous des moments difficiles, des moments où l’on pense que l’on ne pourra plus aller de l’avant, mais la vie est faite de belles rencontres, d’amour, d’amitiés, qui nous aident à avancer ! Cet extrait résume d’ailleurs assez bien ça :

« Parfois, j’ai cette drôle d’impression que la vie est un jeu vidéo. On commence la partie avec plusieurs jauges pleines. La jauge de sérénité, la jauge de force, la jauge d’énergie, la jauge de joie. Sur notre chemin, on va croiser quelques ennemis, faire face à des attaques, parfois se tromper de chemin, sauter sur des bombes, chuter dans des trous, buter contre des obstacles. À chaque fois, nos jauges vont être entamées, mais des bonus « Bonheur » vont nous aider à les recharger. Le bonus « Mariage », le bonus « Naissance d’un enfant », le bonus « Soirée en famille ». Ces bonus sont précieux, ce sont eux qui déterminent la qualité de la partie, parfois même sa durée. À la fin de chaque tableau, on doit affronter un gros monstre. Parmi les plus terrifiants, il y a le monstre « Deuil », le monstre « Maladie », le monstre « Chômage », le monstre « Rupture ». Ceux-là, ils sont coriaces, il faut du temps pour en venir à bout. Même si on y parvient, ils emportent toujours avec eux une bonne partie de chaque jauge. Un jour, les bonus ne sont plus assez costauds pour restaurer la joie, l’énergie et la force. »

En lisant « Tu comprendras quand tu seras plus grande », on se rend compte (ou se rappelle) que les plus grands bonheurs se cachent parfois dans des petites choses, qu’il faut du courage pour avancer dans la vie, mais que l’essentiel c’est de ne pas avoir de regrets et de toujours garder un seul objectif : Etre heureux !

 

Vous l’avez lu ? Vous en pensez quoi ?

 

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